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Symboles normalisés pour schémas électriques
Le présent document a pour objet de faciliter la réalisation de schémas d’installations électriques.
La régulation
La régulation (ou asservissement) consiste à agir de façon à ce que une mesure soit égale à une consigne. Si l’on cherche à atteindre une consigne (de position ou de température), on parlera de poursuite ou asservissement ; si l’on cherche à éliminer des perturbations pour qu’une valeur reste constante (ex : garder la température intérieure de la voiture constante quelle que soit la température extérieure), on parlera de régulation. L’industrie utilise à foison des systèmes d’asservissement ou de régulation : que ce soit pour gérer le débit d’un fluide dans une conduite, la température d’un produit, la hauteur d’un niveau de cuve…
Historiquement, les régulateurs n’étaient pas intégrés dans l’unité centrale des Automates Programmables Industriels, mais se présentaient sous forme de modules autonomes gérant leur environnement propre (acquisition, calcul, commande…).
De plus en plus, les automates intègrent les régulateurs au sein de l’unité centrale. Soit sous la forme de module autonome émulant un régulateur externe au sein de l’UC (évitant ainsi la redondance de câblage qu’imposait l’utilisation de régulateur externe), soit sous la forme de blocs primitifs intégrables au sein du code
au même titre qu’un bloc temporisateur.
Les régulateurs permettent ainsi de lier plus simplement les parties séquentielle et continue du procédé. La régulation fait partie intégrante de la qualité de production : c’est donc un point non négligeable de la chaîne de valeurs d'une installation.
La régulation industrielle

Auto, Chap 3: Etude des système primordiaux
Pour un système du premier ordre caractérisé par l'équation différentielle entre la sortie y(t) et l'entrée u(t):
T est la constante de temps du système; si u(t) est un échelon, on trouve pour la sortie:
Leur fonction de transfert est de la forme :
Avec K = gain statique du système, m = coefficient d'amortissement, et w0 = pulsation propre non-amortie
(K, m et w0 constantes positives)
Controle et régulation Chap2: Etude des systèmes linéaire
Controle et régulation, chap 1: Objectif de la régulation
Électricité AUTOMOBILE
Sur la route de l’électricité (tome 2)
Sur la route de l’électricité (tome 1)
Une initiation à l’électricité par l’histoire et l’expérimentation
Pour la très grande majorité d’entre nous, l’électricité représente soit de grandes entreprises de production ou de transport d’énergie, une facture à payer à la fin du mois ou un choc électrique, c’està- dire un certain danger, une force mystérieuse. Pourtant, l’électricité soutient de manière fondamentale notre confort et notre bien-être, de même que l’organisation de nos sociétés. Nous sommes certainement conscients de notre extrême dépendance vis-à-vis de l’électricité, et nous nous en rendons bien compte surtout lors des grandes pannes de courant.
Contrairement aux autres forces fondamentales de la nature (la gravitation, la force nucléaire et la force électro-faible) que nous avons aussi appris à comprendre, à utiliser et à contrôler jusqu’à un certain point, la force électrique est entrée dans nos vies et nos sociétés d’une façon qui a complètement transformé les moyens de nous transporter, de nous nourrir, de nous instruire et de nous soigner.
Pourtant, nous comprenons mal ce qu’est exactement l’électricité. L’objectif du magnifique ouvrage Sur la route de l’électricité signé par Pierre Langlois est de démontrer par l’histoire et l’expérimentation que l’électricité, cette force invisible, peut être sentie, dirigée et comprise ; l’électricité est notre grande alliée pour faire face aux défis que pose la démographie croissante à l’environnement et aux ressources naturelles dont nous dépendons. Plus important, Pierre Langlois décrit la fascinante aventure de la découverte de l’électricité et du magnétisme, unifiés au 19e siècle par le physicien James Clerk Maxwell. La démarche intellectuelle de cette belle histoire représente un des plus beaux tableaux de l’histoire des sciences et des techniques. Pierre Langlois peint ce tableau avec une adresse extraordinaire.
Dans cet ouvrage unique, Pierre Langlois déchire élégamment le voile qui cache la nature de l’électricité et ses milliers de manifestations, certaines sont en effet fort étranges. L’auteur le fait d’une façon qui fascinera à la fois les jeunes et les moins jeunes. Il étonnera même les experts, les ingénieurs, les physiciens et tous les professionnels qui oeuvrent dans les domaines directement reliés à l’utilisation de l’électricité.
Sur la route de l’électricité est un guide extraordinaire pour un voyage fascinant à travers des expériences extraordinaires que vous pourrez accomplir avec des moyens simples. Émotion, créativité et plaisir en sont les mots clés.
L’auteur, Pierre Langlois, est non seulement un scientifique rigoureux et érudit, mais aussi un pédagogue sans égal. Il démontre dans cet ouvrage une grande habileté technique et une superbe sensibilité à l’efficacité de l’apprentissage. La conception et la réalisation des expériences décrites dans cet ouvrage représentent un chefd’oeuvre pédagogique.
Partez en voyage Sur la route de l’électricité et laissez-vous guider par Pierre Langlois. Préparez-vous à plusieurs excursions vers vos quincailleries et pharmacies préférées…
EntraÎnement Électronique Des Moteurs À Courant Continu
Commande électronique Des Moteurs à Courant Alternatif
Moteurs pas à pas
Dans ce chapitre nous avons vu que les moteurs pas à pas sont conçus pour tourner par incréments discrets, d'une fraction de tour à la fois, lorsqu'ils sont alimentés par une série d'impulsions . Ils comprennent un stator à pôles saillants munis d'enroulements et d'un rotor également à pôles saillants, en fer doux ou à aimants permanents et comportant un nombre de pôles différent du stator. À chaque impulsion appliquée à un enroulement du stator, le rotor tourne d'un angle constant dont la valeur dépend du nombre de pôles du stator et du nombre de pôles du rotor.
Selon la construction du rotor, on distingue trois types principaux de moteurs pas à pas : les moteurs à réluctance, les moteurs à aimants permanents et les moteurs hybrides . Les moteurs hybrides comportent deux armatures de fer doux à pôles saillants, enserrant un aimant permanent axial qui crée une alternance de pôles N et S .
Les enroulements du stator sont de type bipolaire (une bobine par pôle créant un pôle N ou S selon le sens du courant) ou unipolaire (deux bobines par pôle créant chacune un pôle qui a toujours la même polarité) . Ils sont excités à tour de rôle par une source de tension continue, à travers des commutateurs électroniques, généralement des transistors . L'excitation peut être de type ondulée (un seul groupe de bobines alimentées à la fois), de type standard (deux groupes de bobines alimentées en même temps) ou de type demi-pas (combinaison des deux modes précédents) .
En mode de rotation normal (pas à pas), à cause de l'inertie du rotor, le déplacement du rotor produit par chaque impulsion prend un certain temps . Dans ce mode, il existe donc une limite supérieure à la fréquence des impulsions que l'on peut appliquer au stator. Si l'on continue à augmenter la fréquence des impulsions, le moteur fonctionne en survitesse, sans s'arrêter à chaque pas, mais tout en gardant le synchronisme avec les impulsions .
Enfin nous avons vu que l'inductance des enroulements du stator limite le temps de montée et de descente des impulsions de courant, ce qui a pour effet de réduire le couple développé et la fréquence maximale des impulsions qu'on peut appliquer.Afin de réduire la constante de temps d'établissement du courant, on peut augmenter la résistance en série avec les enroulements et la tension d'alimentation . Pour éviter les pertes occasionnées par cette méthode on a aussi recours à une alimentation à deux niveaux de tension, combinée avec des interrupteurs à transistors et des diodes . ...
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Alternateurs Triphasés
Les alternateurs de grande puissance sont constitués d'un stator ou induit portant un enroulement triphasé branché en étoile et distribué dans des encoches, et d'un rotor ou inducteur portant un enroulement alimenté en courant continu . Le courant d'excitation peut être produit par une génératrice à courant continu ou excitatrice montée en bout d'arbre et branchée à l'inducteur à travers une paire de bagues et de balais . Dans les machines modernes, on utilise plutôt une excitation sans balais ni bagues constituée d'un alternateur triphasé à induit tournant et d'un redresseur tournant . Pour les alternateurs entraînés par des turbines hydrauliques tournant à basse vitesse, l'inducteur comporte un grand nombre de pôles saillants . Par contre, pour les turboalternateurs entraînés par des turbines à haute vitesse (3600 r/min ou 1800 r/min) sur un réseau à 60 Hz, le rotor est parfaitement cylindrique et comporte deux ou quatre pôles lisses . Le circuit équivalent de l'alternateur est très simple . Chaque phase comprend une tension interne correspondant à la tension induite par le courant d'excitation, branchée en série avec la résistance du stator et la réactance synchrone (0,8 à 2 p .u .) . Ce circuit équivalent permet de prévoir le courant et la tension de la machine pour tout type de charge et lors d'un courtcircuit. Lorsque l'alternateur est branché à un grand réseau, on doit, avant de fermer le disjoncteur, le synchroniser avec le réseau . Lorsque la turbine entraînant l'alternateur fournit une puissance mécanique, la tension interne de l'alternateur se décale d'un angle de Ô degrés électriques en avance sur la tension à ses bornes . L' alternateur débite alors de la puissance active . Cet angle électrique correspond à un décalage mécanique entre les pôles du rotor et ceux du champ tournant créé par les courants du stator. On a vu aussi que l'alternateur peut absorber ou générer de lapuissance réactive . Lorsque l'alternateur est sous-excité, il absorbe de la puissance réactive du réseau ; lorsqu'il est surexcité, il en fournit. Rappelons enfin que lorsque la charge de l'alternateur change brusquement, ou lorsqu'un court- circuit est appliqué à ses bornes, la réactance synchrone du circuit équivalent doit être remplacée par la réactance transitoire de plus faible valeur (environ 0,2 p.u .) . Cette réactance transitoire permet de calculer le fort courant de court-circuit . Par la suite, le courant se stabilise à sa valeur de régime permanent correspondant à la réactance synchrone ...
Transformateurs Spéciaux
Transformateurs
PERTES, ÉCHAUFFEMENT, RENDEMENT ET DIMENSIONS DES MACHINES ÉLECTRIQUES
La transformation d'énergie dans les machines comme les génératrices, les moteurs, les transformateurs, ne peut s'effectuer sans pertes . Ces pertes provoquent un échauffement de la machine et une diminution du rendement.
Les pertes et donc le rendement d'une machine varient avec la charge . On distingue les pertes mécaniques par frottement et les pertes électriques dans les conducteurs et dans le fer. Les pertes dans les conducteurs sont dues à l'effet Joule.
Les pertes massiques (W/kg) dépendent de la densité de courant utilisée, de la résistivité et de la masse volumique du conducteur. Les pertes dans le fer sont dues au phénomène d' hystérésis et aux courants de Foucault.
Les pertes massiques dans le fer dépendent de la densité de flux et de la fréquence, ou de la vitesse de rotation . L'utilisation de tôles minces permet de réduire les pertes par courants de Foucault . Des courbes fournies par les manufacturiers permettent d'évaluer les pertes dans le fer pour différents types d'acier .
L'échauffement permis pour les machines est établi par les organismes de normalisation. Les normes de température établissent différentes classes de température selon le type d'isolant . Chaque classe correspond à une température maximale permise, allant de 105 °C à 180 °C . Pour mesurer l'échauffement on peut déterminer directement la température du point chaud à l'aide d'un thermocouple ou déduire la température moyenne des enroulements en mesurant leur augmentation de résistance .
Finalement, nous avons étudié l'impact de la tension nominale, de la puissance nominale et de la vitesse nominale d'une machine, sur sa grosseur et son rendement. Retenons que : (1) la tension nominale d'une machine n'affecte pas ses dimensions ni son rendement,
(2) à vitesse constante, le rendement d'une machine augmente rapidement avec sa puissance nominale et
(3) à puissance constante, une machine est d'autant plus grosse que sa vitesse de rotation est plus basse .
CIRCUITS TRIPHASÉS
PUISSANCE ACTIVE, RÉACTIVE ET APPARENTE
Dans ce chapitre nous avons vu que tous les composants d'un circuit ou réseau électrique à courant alternatif peuvent se comporter comme une source ou une charge, active ou réactive . Nous avons appris comment connecter un wattmètre et un varmètre pour mesurer respectivement la puissance active et la puissance réactive . Lefacteur de puissance d'un circuit est un nombre inférieur ou égal à 1 définissant le rapport entre la puissance active et la puissance apparente . On a vu qu'un condensateur, qui est une source de puissance réactive, permet d'améliorer le facteur de puissance, et donc de réduire le courant d'un circuit qui consomme de la puissance réactive (ex. : circuit inductif, moteur) . On a vu qu'il est possible de résoudre un circuit en faisant simplement le bilan des puissances active et réactive . Cette méthode permet de résoudre des circuits à c .a . sans faire appel au calcul vectoriel . Nous avons aussi donné les formules permettant de calculer les circulations de puissance active et réactive entre deux sources reliées par une réactance inductive . On a constaté qu'il est possible de simuler un condensateur ou une inductance simplement en agissant sur l'amplitude et la phase de l'une des deux sources .
Enfin, on a vu comment utiliser le calcul vectoriel pour calculer les puissances à partir des vecteurs de tension et de courant . La puissance apparente est elle-même un vecteur qui, exprimé sous forme rectangulaire, donne la puissance active et réactive .
Puissance Active, réactive Et Apparente
Puissance Active, réactive Et Apparente
SOLUTION DES CIRCUITS À COURANT ALTERNATIF
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Diagrammes vectoriels
Résumé
Dans ce chapitre, nous avons appris qu'une grandeur sinusoïdale comme une tension ou un courant peut être représentée par un vecteur tournant. Lorsque ces vecteurs sont représentés graphiquement, ils forment un diagramme vectoriel . Chaque vecteur peut aussi être exprimé par deux nombres, soit sous forme rectangulaire (composante horizontale et composante verticale), soit sous forme polaire (valeur efficace et angle) .
On définit aussi l'impédance vectorielle d'une résistance, d'une réactance inductive et d'une réactance capacitive .
Le calcul vectoriel permet de généraliser les techniques de solution des circuits à courant continu aux circuits à courant alternatif. Nous avons appris comment effectuer les opérations d'addition, soustraction, multiplication et division sur les vecteurs représentant des tensions, courants et impédances . Pour l'addition et la soustraction, il est plus commode d'utiliser les vecteurs sous forme rectangulaire . Par contre, pour les opérations de multiplication et de division on utilise la forme polaire. ...
Circuits Simples À Courant AlternatIf
Résumé
Pour une résistance, la tension et le courant sont en phase. Pour une inductance, le courant est déphasé de 90 degrés en arrière de la tension . Pour une capacitance le courant est déphasé de 90 degrés en avant de la tension . Pour chacun des éléments : résistance, inductance et capacitance, la puissance est obtenue en faisant le produit de la tension efficace et du courant efficace . Pour la résistance, il s'agit d'une puissance active mesurée en watts correspondant à un dégagement de chaleur. Par contre, pour un élément comme une inductance ou une capacitance, il s'agit d'une puissance réactive mesurée en vars qui ne donne lieu à aucun échauffement mais seulement à un échange d'énergie entre l'élément et le reste du circuit .
Enfin, nous avons présenté une méthode de calcul simple pour trouver la valeur moyenne et la valeur efficace d'une tension ou d'un courant périodique non sinusoïdal .
Capacitance
Résumé
Lorsqu'une tension continue est appliquée à un condensateur C en série avec une résistance R, le condensateur se charge et la tension entre ses bornes augmente en fonction du temps selon une courbe exponentielle .
Le temps requis pour que la tension du condensateur atteigne la tension de source dépend de la constante de temps i = RC. De la même façon que pour le circuit inductif L-R, on peut utiliser le demi-temps To et un tableau universel pour tracer facilement les courbes exponentielles de charge et de décharge .
Plus généralement, lorsque la tension aux bornes d'un condensateur varie de façon quelconque, le courant circulant dans le condensateur dépend du taux de changement AE/fit de la tension . Le courant I est donné par la loi fondamentale I = CAE/At. Lorsque la tension augmente, le condensateur se charge et le courant entre par la borne positive du condensateur.
De la même façon qu'une bobine s'oppose au changement rapide du courant qui la traverse, on peut dire qu'un condensateur « s'oppose » à un changement de tension rapide entre ses bornes car il doit accumuler une certaine charge pour que la tension change . Pour cette raison, les condensateurs sont parfois utilisés comme méthode de protection contre le surtensions momentanées. ...
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Phénomènes électrostatiques
Nous avons tous eu la désagréable sensation de prendre un choc en touchant une poignée de porte ou un autre objet métallique après avoir marché sur un tapis . Ce choc correspond à une décharge électrique momentanée entre le corps humain et l'objet touché . Ce phénomène s'explique par cette science qu'on appelle électrostatique. L'électrostatique est l'étude des charges positives et négatives qui sont prisonnières à un endroit ou sur un objet quelconque.
Lorsque des charges sont transférées d'un corps à un autre, il s'établit entre ces deux corps une différence de potentiel, ou tension électrique. L'unité SI de charge électrique est le coulomb (C). De la même façon qu'un conducteur parcouru par un courant est entouré d'un champ magnétique, deux corps chargés d'électricité de signes contraires créent un champ électrique . Le spectre de ce champ électrique est composé de lignes de force partant des charges positives (+) et aboutissant sur des charges négatives (-) . Ce champ électrique contient une énergie électrostatique qui dépend de la tension entre les deux corps et de la charge transférée.
Une particule chargée placée dans un champ électrique subira une force qui l'oblige à se déplacer le long des lignes de force du champ . Ce phénomène peut être mis à profit dans plusieurs appareils (dépoussiérage, peinture, ...) . Il peut aussi provoquer l'ionisation d'un gaz isolant comme l'air lorsqu'il est traversé par un champ électrique intense . Le phénomène d'ionisation provoque les éclairs pendant les orages . L'ionisation cause des pertes par effet couronne le long des lignes de transport . Lorsque la foudre frappe une ligne, la charge importante déposée sur la ligne peut développer des surtensions dangereuses pour les équipements du réseau . La forme d'onde de tension caractéristique des ondes de choc dues à la foudre a été normalisée. De plus, l'isolation des équipements doit être conçue pour supporter un certain «BIL » correspondant à la tension crête de l'onde de choc normalisée .
Les parafoudres permettent de protéger les équipements des postes en limitant les surtensions à une valeur inférieure à leur BIL . ...
GRAFCET et automatisme
Plan de cours
Partie A : Introduction à la logique séquentielle
Chapitre 1 : Rappels sur les systèmes combinatoires
Chapitre 2 : Notion de systèmes séquentiels
Chapitre 3 : Modélisation des systèmes séquentiels
Chapitre 4 : Synthèse des systèmes séquentiels
Partie B : GRAFCET et automatisme
Chapitre 1 : Description d’un automatisme
Chapitre 2 : Présentation du Grafcet - la norme
Chapitre 3 : Compléments sur le grafcet
Inductance
Dans ce chapitre, nous étudierons une des propriétés les plus importantes des enroulements . Cette propriété, appelée inductance, permet d'évaluer les tensions induites dans les bobines de même que la quantité d'énergie qu'elles emmagasinent. L'inductance joue un rôle important dans les circuits à courant continu et à courant alternatif, si bien que tous les domaines de l'électrotechnique sont affectés par cette propriété de base . ...
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